Pour nôtre journal, nous avons eu l'immense honneur d'obtenir une interview avec Charlie Chaplin à Londres à propos de son film "Le Dictateur".

Monsieur Chaplin, après la réalisation de vôtre film, "Le Dictateur", qui fût un énorme succès, pouvez-vous nous dire quels sont vos sentiments aujourd'hui par rapport à ce film ?

Je suis assez fier du film, j'espère qu'il a pu faire réagir, sourire, rire les gens en ces temps difficiles, j'avais quand même de l'appréhension, je ne savais pas ce film allait plaire et finalement, je suis ravi (il rit).

Comment est venue vôtre inspiration ? Qu'est-ce qui vous a motivé à écrire le scénario puis réaliser le film ?

L'inspiration je l'ai trouvé en lisant des journaux qui évoquait les actes de Hitler en Europe, comme l'extermination des juifs. J'ai trouvé cela absolument atroce et puis j'ai voulu caricaturé, ridiculisé le personnage.

Le contexte actuel ne vous permettait pas de réaliser ce film, vous avez-pris un gros risque, en êtes-vous conscient ?

   En effet le contexte actuel ne me permettait pas d'écrire un tel scénario, mais j'ai voulu comme qui dirait "casser" les règles. J'ai pris un risque, mais maintenant c'est fait.

Quelles émotions cherchez-vous à provoquer chez le spectateur ?

 Je cherche à interpeler les spectateurs sur un sujet grave à travers l'humour.

Votre discours à la fin du film est incroyablement touchant, dans quelles circonstances avez-vous écrit ce texte ?

 J'était chez moi puis j'ai ouvert les fenêtres de mon salon, j'ai regardé les gens passer dans la rue, des gens s'entraider, des mères pesant attention à leurs enfants ; la définition d'un onde de paix était la, sous mes yeux. Pas discriminations, pas de moqueries. Alors j'ai pris des feuilles, un crayon et une chaise ; même suis installé au rebord de ma fenêtre et j'ai commencé à écrire.

Quel(s) message(s) cherchez-vous à faire passer ?

  Par le personnage du Barbier je souhaite faire passer un message, ça ne sert à rien de conquérir et de diriger, aidons nous les uns les autres, soyons heureux. Le monde est assez riche et vaste pour chacun de nous. Le problème est le suivant : la haine, l'envie et le malheur ont fait sombrer les hommes dans la misère. Nous sommes en permanence insatisfait de ce que nous avons, nous manquons d'humanité. Sans des qualités haine tel que la tendresse, la gentillesse, l'amitié, la fraternité, nous sommes perdu...des millions de gens souffrent et ils n'ont pas à souffrir, ce ne sont que des innocents, des enfants, des femmes, des hommes... Mais nous pouvons vaincre cela, nous pouvons vaincre la dictature en nous battant et nous continuerons à nous battre jusqu'à la victoire. La liberté ne périra pas. Nous avons le pouvoir de rendre ravie belle, meilleure libre, alors utilisons ce pouvoir. Unissons-nous au nom de la Démocratie et de la Liberté !

Globalement êtes-vous satisfait de vôtre film ?

Très satisfait et surtout très heureux (il sourit de toutes ses dents).

Interview présentée par Emma

En allant chez mon frère le week-end dernier, j'ai retrouver un vielle lettre que je lui avait envoyé lorsque je fesais mon reportage au Togo.

Moi et mes chères collègues avons fait une vidéo d'arrestation ou l'on incarnait des nazis en train d'arrêter  deux résistant qui se donnaient des faux papiers d'identités. Or elle n'est point sur le blog pour des causes de droits  à l'image. Nous vous prions de nous excuser.

Voici un mur où j'ai trouvé différente affiches de propagandes. Il se trouvait 6 rue des Capucines à Paris.

En allant chez mon amie Pascaline, j'ai  retrouver une carte postale que je lui avais envoyé lors de mon voyage d'affaire au Sénégal

Hier le facteur est passé me déposer mon courrier comme tout les jours et j'ai reçu une agréable souvenir en voyant que c'était une carte postale de mon meilleure ami Allan... sur cette carte il y avait un timbre qui venait du Togo...

Récemment  j'eus reçu une carte postal de mon ancienne amie d'enfance. Sur cette carte un timbre d'Algérie avec plusieurs signes étaient présents. 

 Allan

En nous baladant dans une ruelle, nous avons trouvé un tract de résistant accroché sur un mur.

Mon cher journal,                                                                                                          23 juillet 1942

    Hier a été une journée très particulière mais surtout marquante. La communauté juive a été prise par surprise dans son quotidien, par les forces de l'ordre française. Ils les ont arrêtés sans prévenir en enlevant d'abord les enfants, puis les adultes. Ils les ont envoyés au Vél d'Hiv qui est un énorme vélodrome en plein Montmartre, en attendant de les mettre dans des camps de concentrations.

    Heureusement pour moi, je ne suis pas juif mais toutes ces personnes m'ont fait beaucoup de peine d'être arrachées à leurs maison, dans leur intimité. Ils n'ont même pas eu le temps de faire leurs bagages qu'ils étaient déjà partis. Je passais dans la rue, insouciante, alors qu'au même moment se produisait cet exode, plutôt cette rafle, j'observais ces actions se dérouler sous mon nez quand j'entendais un des policiers dire que c'était le maréchal Pétain qui avait signé un accord avec l'armée allemande nazie endoctrinée par Hitler.

    Cet accord consistait à livrer tout les juifs de France aux nazis et de les envoyer dans les camps de concentration dont celui de Beaune pour par la suite être emmenées à Auschwitz là où leurs exterminations aller commencer et précédé par des torture innombrables. Un accord censé nous éviter une nouvelle attaque de l'Allemagne.

    Je trouvais cela complétement désolant et absurde de détruire des familles entière en pleine nuit, dans la peur et la désolation, pour un simple accord entre l'Allemagne et la France, de sacrifier des milliers de juifs pour un simple pactes,  c'était vraiment insensé et irresponsable  de la part du maréchal Pétain, moi qui comptait et bien je me suis trompée.

tous ces pauvres gens, innocents qui n'avaient rien réclamés. Ils étaient donnés en martyre

aux nazis, voir le regard désespéraient des parents et le regard vide des enfants, sensation si troublante et accablante. j'espère t'avoir fait partager l'horreur et le désespoir que je ressens depuis ces instants terribles

 cher journal, qu'allons nous devenir si de telles horreurs se reproduisent... 

Pauline.

Nous avons rencontré Charlie Chaplin, lors d'une interview pour son film "Le dictateur"  qui connait un énorme succès en ce moment.

Quels sont vos sentiments vis-à-vis du film ?

J'ai eu le sentiment de prouver qu'on pouvait faire ou écrire des films avec des faits réels puis les détournés.

Quels ont étés vous motivations pour réaliser ce film ?

J'ai eu la motivation de faire voir le vraie vie: la guerre, la famine, la fuite et l'amour...Je voulais montrer au public qu'on pouvait encore rire malgré ce qu'il se passe en ce moment.

Est-ce qu'il y a eu des circonstances pendant l'écriture de ce film ?

Oui il y en a eu. Ce film à été une rupture pour moi de mes anciens scénarios, j'ai abandonné mon personnage mué, le dictateur sera mon premier film parlant, il sera un film qui repose sur un scénario rédiger avant le tournage.

Vos motivations pour le discours final à la fin du film ?

 En écrivant ce discours, je voulais dénoncer le racisme envers des communautés. Je voulais également m'opposer contre la dictature montante qui empoisonne l'Europe. Ne pas parlez qu'aux soldats mais parlez a la terre entière. 

Interview proposée par Amélie Moreira

Toi vel d'hiver, qui porte si bien ton nom !

Malgré la vie dans tes entrailles,

Une ambiance froide s'en dégage.

Es-ce normal ?

Tes murs puent la mort vel d'hiv !

Les courses de vélos sont devenues

Courses à la mort .

Les yeux vides et le teint livides, les cheveux

En pétard comme leurs cœurs explosés,

Des larmes coulent sur leurs visages souillés.

Tous ces gens qui ont vécu et servi leur pays

Se retrouvent comme trahis.

Leurs patries ne les considèrent donc que

Comme de vulgaires animaux ?

Trois, deux, un le compte à rebours

Pour la mort est lancé. Ces gens

Entassés, comme des bêtes, sans aucun

Espoir de vie ! Finiront morts comme si

Ils étaient passés chez le boucher

          En mémoire à tous ces gens disparus.

Allan

Nous avons commenté des affiches de propagande et réalisé une petite capsule audio, mais pour raison de confidentialité, nous l'avons stocké en lieu sûr, au siège du journal, rue de la Râperie, à Oissery.

Nous sommes un groupe de journalistes, trois filles : Emma, Pauline et Amélie. Et un garçon, Allan. Au cours de nos voyages et de nos reportages nous avons découvert plein de villes et de pays. Nous avons été interviewer Monsieur Charlie Chaplin en Angleterre à Londres, nous nous sommes rendue a Paris ou nous avons visionné un dessin animé, puis nous avons analyser des affiches de propagandes. Nous avons par la suite été nous balader dans les rues pour interroger des passants mais malheureusement nous n'avons croisé personnes. A la place nous avons vu sur un mur des tractes de résistants, il nous expliquait la mobilisation des résistants pour trouver des personnes.

14 mai 1942

Article dans le journal l'Avenir

Après avoir visionné ce dessin animé, nous avons constaté que la compagnie (Leon Schlesinger company) qui a réalisé ce dessin animé a discriminés les représentants de l'Axe.

Hitler était représenté par un canard moustachu, énerve et qui criait, L'empereur du Japon était représenté par un canard ayant un air idiot et souriant et Mussolini était également représenté par un canard, baraqué et modeste.

Le dessin animé met en valeur les Etats-Unis en mettant à la fin une image de victoire.

https://www.youtube.com/watch?v=1Myq5cCmyJI

Vidéo Youtube

Cher grand mère et et cher grand père,                                                         14 juin 1942

   Nous espérons que vous vous portez bien, en tout cas nous oui, la guerre n'est pas facile. En ce moment nous ne mangeons pas beaucoup, bref, aujourd'hui avec père et mère nous avons vu un dessin animé qui s’appelait THE DUCTATORS. Ce dessin animé parlait de la guerre, et dedans il y avait Hitler représenter par le vilain petit canard, Mussolini par une sorte de gros canard et l'empereur japonais par un canard avec un accent asiatique des yeux bridés et des lunettes. Dans le dessin animé ils veulent prendre toutes les terres au français. Ils font aussi beaucoup de discours et ne respectent pas les traités. Ensuite ils y a des américains qui arrivent pour se battre  ils sont représentaient par des lapins et des oies, ils ont l'aire plus intelligent et plus fort alors que Mussolini est idiot. Ce sont les américains qui gagnent cette guerre. Nous vous embrassons fort, à bientôt.  

                                                                                                                          Pauline et Allan

Pétain veut que l'école Française soit Nationale avant tout. La Géographie, les  Mathématiques ou l'Histoire seront  des programmes simplifiées et par rapport à la France.

Pour construire une jeunesse sportive, des travaux manuels seront attribués aux filles et aux garçons

Un chant est chanté chaque matin à l'école("Maréchal, nous voila !"), ce chant est pour la gloire du Maréchal Pétain. Il est destiné a être appris par cœur.Ce chant est le seule hymne a être communs entre les écoliers de la zone nord et sud. Il réalise l'idéologie anti-individualiste de Vichy.

15 août 1941

Cher Monsieur le Ministre,

Je me suis rendue comme prévu dans une école allemande pour étudier l'éducation donnée aux enfants dans ce pays.

Les jeunes allemands travaillent d'une façon totalement différente de la nôtre ; les exercices sont "racistes" (ils se moquent des personnes ayant des problèmes psychologiques et des juifs), ils sont très centrés sur leur régime politique actuel (nazi). Leur culture est plutôt sportive et physique. C'est la loi du plus fort!!

Les enfants sont éduqués de façon à devenir plus tard de jeunes nazis. Ils sont embrigadés après l'école dans des Jeunesses Hitlériennes.

Bien Cordialement

Emma LHOMME