• j'ai envoyé cette lettre à un amie a moi, je l'ai retrouvé il y a peu, et j'ai décidé de vous la partagé

     


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    L'artiste du veld 'ive je vous fait part des mes ressentie.

                                                                                                                                             Juillet 1942.

     

    Cher Journal , aujourd'hui j'ai assistée à un carnage horrible, une interpellation, cette

    évènement  à bousculer ma journée ces nazie on encore retirer des innocents qui n'ont rien

    demander. 

    De force, ils sont trainés, frappés à coup de matraque un des hommes de la gendarmerie

    française, fait saigner du nez un enfant d'à peine 5 ans aucune pitié, il se moqua même de

    lui en lui disant:

    -"regardez  le il saigne comme un porc" d'un air moqueur.

                 Les parents étaient effondrés, le père en vin essaya de protéger ses enfants en les

        poussant  s'évadés, en conséquence lui aussi s'est fait frappé cette fois ci lui à l'œil  


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  • Mon cher journal,                                                                                                          23 juillet 1942

        Hier a été une journée très particulière mais surtout marquante. La communauté juive a été prise par surprise dans son quotidien, par les forces de l'ordre française. Ils les ont arrêtés sans prévenir en enlevant d'abord les enfants, puis les adultes. Ils les ont envoyés au Vél d'Hiv qui est un énorme vélodrome en plein Montmartre, en attendant de les mettre dans des camps de concentrations.

        Heureusement pour moi, je ne suis pas juif mais toutes ces personnes m'ont fait beaucoup de peine d'être arrachées à leurs maison, dans leur intimité. Ils n'ont même pas eu le temps de faire leurs bagages qu'ils étaient déjà partis. Je passais dans la rue, insouciante, alors qu'au même moment se produisait cet exode, plutôt cette rafle, j'observais ces actions se dérouler sous mon nez quand j'entendais un des policiers dire que c'était le maréchal Pétain qui avait signé un accord avec l'armée allemande nazie endoctrinée par Hitler.

        Cet accord consistait à livrer tout les juifs de France aux nazis et de les envoyer dans les camps de concentration dont celui de Beaune pour par la suite être emmenées à Auschwitz là où leurs exterminations aller commencer et précédé par des torture innombrables. Un accord censé nous éviter une nouvelle attaque de l'Allemagne.

        Je trouvais cela complétement désolant et absurde de détruire des familles entière en pleine nuit, dans la peur et la désolation, pour un simple accord entre l'Allemagne et la France, de sacrifier des milliers de juifs pour un simple pactes,  c'était vraiment insensé et irresponsable  de la part du maréchal Pétain, moi qui comptait et bien je me suis trompée.

    tous ces pauvres gens, innocents qui n'avaient rien réclamés. Ils étaient donnés en martyre

    aux nazis, voir le regard désespéraient des parents et le regard vide des enfants, sensation si troublante et accablante. j'espère t'avoir fait partager l'horreur et le désespoir que je ressens depuis ces instants terribles

     cher journal, qu'allons nous devenir si de telles horreurs se reproduisent... 

    Pauline.

     

     


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  • J'ai interviewé Charlie Chaplin sur son film qu'il a réalisé "Le dictateur" et lui ait posé quelques questions sur la scène final.

    -"Bonjour Mr Chaplin, je vais vous poser quelques questions sur votre film et vos sentiments sur celui-ci.

    -Oui bien sûr.

    -Quelle était votre envie de faire ce film?

    -Je voulais tout d'abord montrer l'horreur de la guerre en représentant Hitler comme le responsable et qu'il joue avec le monde, dans la scène où je l'incarne j'envoie le ballon dans les airs, je m'amuse et bien c'est la même chose qu'Hitler fait mais avec le vrai monde.

    -Pourquoi avez vous fait un discours final?

    -Je me sentais obligé de faire une dernière scène épique pour dénoncer Hitler comme étant un homme mauvais et que le monde ne devait pas être ainsi.

    Dans le discours final je dis le contraire de ce qu'Hitler dis, c'est à dire que je parle du vivre ensemble, lui voulais exterminer les juifs.

    -Quels sont vos sentiments sur ce film?

    -J'étais très content de faire ce film car il montre qu'un monde sans Hitler serait meilleur et que le fait de l'incarner, on peut facilement le ridiculiser .

    -Quels étaient les circonstances de l'écriture?

    -Nous n'avions pas peur d'écrire ce film car nous somme de l'autre coté des Allemands.

    Ils ne pourront pas venir en avions jusqu'à nous pour nous bombarder donc on a profité de cet avantage pour réaliser ce film.

    -Merci, Mr Chaplin."

     


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